McFly & Carlito
J’ai roté dans mon masque
[Couplet 1 : Mcfly]
Je me suis levé ce matin, ouais
Avec l’envie d’un bon petit plat
J’ai donc voulu préparer un gratin
Mais je n’avais que de l’ail et des anchois
Cette collation fut délicieuse
Quoi qu’un peu imprévue
Mon erreur fut cette idée saugrenue
De boire une bouteille d’eau gazeuse

[Pré-refrain : Carlito]
Puis il est sorti faire ses courses
Avec tout l’attirail recommandé
Il a senti remonter les gousses
Alors il a très vite déchanté

[Refrain : Mcfly, Carlito & ensemble]
J’ai roté dans mon masque
Ouais, j’ai roté dans mon masque
J’ai roté dans mon masque
Impossible de fuir hélas
J’ai roté dans mon masque (il a rôté dans mon masque)
Ouais, j’ai roté dans mon masque
J’ai roté dans mon masque
Impossible de fuir hélas (Quel enfer)
[Couplet 2 : Mcfly]
Ouais, si t’en as fait ne serait-ce qu’un
Tu sais pourquoi ça m’dévaste
C’est quoi cette mascarade
J’ai roté dans masque
Vous n’imaginez pas l’odeur nauséabonde
Qui provenait de mon estomac
J’étais prêt à repeindre la Joconde
Au rayon frais du Naturalia
J’ai donc dû le retirer
Afin de ressentir l’air pur
Mais ce que je n’avais pas prévu
C’est que les keufs allaient me verbaliser

[Pré-refrain : Carlito]
150 d’amende dommage
Quelques échauffourées sauvages
48 d'heures de gardav'
Tout ça parce qu’il a, il a

[Refrain : Mcfly, Carlito & ensemble]
J’ai roté dans mon masque
Ouais, j'ai roté dans mon masque
J’ai roté dans mon masque
Impossible de fuir hélas (la forme testinale)
J’ai roté dans mon masque (il a rôté dans son quoi ?)
Ouais, j’ai roté dans mon masque
J’ai roté dans mon masque
Impossible de fuir hélas
[Couplet 3 : Carlito & Mcfly]
Dis moi pourquoi tu rotes ?
Dis moi pourquoi tu rotes ?
Dis moi pourquoi tu rotes ?
Pourquoi tu rotes comme ça ?
Dis moi pourquoi tu rotes ? (pardon Edouard Philippe)
Dis moi pourquoi tu rotes ? (pardon, pardon, pardon)
Dis moi pourquoi tu rotes ? (pardon Edouard Philippe)
Pourquoi tu rotes comme ça ? (pardon, pardon)

[Outro : Mcfly]
Pardon Edouard Philippe
Pardon, pardon, pardon
Pardon Edouard Philippe
Pardon, pardon