[Hakim Meridja aka Bouchkour]
Ils se nourissent de nos peurs
J’nais qu’une envie c’est de fuir, quand je les vois se mettre d’accord
Il n’est pas question de notre avenir, mais bien du leur qu’ils se taisent alors
Dire que nous devons fuir nos rêves, ne plus y croire même quand il fait beau
Pour leur pouvoir surtout leur égo, car brillant comme de l’or
Agir pour le peuple mais dans quel intérêt, défendre de fausses valeurs tout ça pour le même palais
Mensonges vous répondrez un jour de vos méfets, encore et encore
Ton pouvoir t’illumine et voilà ce que t’en fais tes fonctions tu les mimes puis tu disparais
Tes paroles sont vide mais dis moi qui tu es, tais-toi silence est d’or
Sous quelle banière t’es-tu présenté, sûrement celle du plus fort
De quel discour t’es-tu inspiré, je ne le sais pas encore
Laissons-nous à nos enfants, discours et tourments
Ajourd’hui la France est mouvante, comment peut-on l’ignorer
J’nais qu’une envie c’est de fuir, quand je les vois se mettre d’accord
Il n’est pas question de notre avenir, mais bien du leur qu’ils se taisent alors
Dire que nous devons fuir nos rêves, ne plus y croire même quand il fait beau
Pour leur pouvoir surtout leur égo, car brillant comme de l’or
Toutes les langues vont se délier
All Right
De là haut, ta fierté, et ta toute puissance sêment en nous le désordre
De là haut, aveuglé, par l’ambition, le pouvoir te dévore
De là haut, mensonge et, il y a tellemet de choses qu’on ignore
De là haut, dégagé, on poussera les murs tout en chantant dehors
Car ensemble nous sommes, ensemble nous feront, le constat de tes erreurs
Ensemble nous sommes, ensemble nous feront, taire l’injustice est toutes ces misères
Ensemble nous sommes, ensemble nous feront, un bilant en ton honneur
Ensemble nous sommes, ensemble nous rèveront, de jours meilleurs pour tous nos frères !
J’nais qu’une envie c’est de fuir, quand je les vois se mettre d’accord
Il n’est pas question de notre avenir, mais bien du leur qu’ils se taisent alors
Dire que nous devons fuir nos rêves, ne plus y croire même quand il fait beau
Pour leur pouvoir surtout leur égo, car brillant comme de l’or
Comment peux-tu nous diriger ?
Est-ce-que tes valeurs sont bien fondées ?
Lire tes pensées m’épuise, tes sbires me térrorisent
Car nos blessures sont pardonnées
Ils se nourissent de nos peurs