[Refrain Instrumental]

[Couplet 1]
L’emprise tyrannique, du boss despotique
Sur l’ouvrier durci, usé par la vie
Le harcèlement, des prêteurs d’argent
Sur les pauvres gens, système révoltant
L’esprit du guerrier, envie de tuer
Adorer la guerre, laisse un goût amer
Idées nucléaires, il fallait le faire
Détruire notre terre, brûler en enfer

[Refrain 1]
La nature humainе, qui coule dans nos veines
Début dе gangrène, au royaume d’Éden

[Couplet 2]
L’homme et ses croyances, remplies d’espérance
Pour finalement, tremper dans le sang
Tromperies mesquines, de l’être qui taquine
Le péché de chair, proscrit par le père
La colombe en pleurs, l’oiseau du bonheur
Blessé par la chasse, d’un tueur de glace
Justice et police, si souvent complices
Différent totalement, du riche au manant
[Refrain 2]
La nature humaine, qui coule dans nos veines
Début de gangrène, au royaume d’Éden

[Solo Guitare: Pierre Toïgo]

[Refrain 3]
La nature humaine, qui coule dans nos veines
Début de gangrène, au royaume d’Éden

[Break Instrumental]

[Pont 1]
Pourquoi devrait-on, subir la pression
D’un être fanatique, ou d’une république
État étatique, mort systématique
De toutes formes de rêves, dont certains en crèvent

[Pont Instrumental]

[Pont 2]
Ce constat navrant, tragique et pesant
De l’homme face au monde, réflexion profonde
Il faut d’abord, nous les anonymes
S’unir pour être forts, enrayer le crime
[Pont Instrumental]

[Refrain 4]
La nature humaine, qui coule dans nos veines
Début de gangrène, au royaume d’Éden

[Break]
Viens là petit enculé
C'est comme ça qu'on fait bébé

[Pont 3]
Aliéné de troubles, conscience divisée
Le navire coule, le cœur enfin vidé
Les envies malsaines, au grand jour exposées
Révèlent l’esprit marqué, d’une vie trop puritaine

[Pont Instrumental]

[Pont 4]
Donneurs de leçons, toujours à l’ouvrir
Avides de raison, finissent par se trahir
Valeurs volatiles, d’avis bien variables
Hommes trop effroyables, nature volubile

[Pont Instrumental]
[Refrain 5]
La nature humaine, qui coule dans nos veines
Début de gangrène, au royaume d’Éden