[Paroles de "Jamais revenue" ft. Josman]
[Intro : tag]
A-AAWA the mafia, my n***a
[Couplet 1 : Luv Resval]
Ça fait des mois qu'elle a perdu l'anneau (Yeah), elle pleure sur la mélo' du piano (Woh)
J'écris, j'repousse les boulets, les assaillants, ma lame t'apporte les fleurs, j'suis comme D'Artagnan
Il a marché tout seul, ce monsieur, qu'il est triste (Yeah), il est fonce-dé, c'est comme ça qu'il oublie les cris
D'sa daronne dans la salle des mouvements cinétiques (Touoh), j'entends Dieu sur la Terre, tout est symétrique
40 flacons d'Euphon, comme ça qu'on vit les crises, les zombies sont devant, sirotent du millésime (Toh, toh, toh)
J'en remets dans mon verre, j'envoie des inédits (Yah), y'a des potes ou des putes, des clochards qui s'déguisent
On marchait dans Paname en tant qu'Monsieurs, Madames, au milieu des personnes, ceux qui changent de faciès
J'suis devant un manoir qui est noir comme un A7, j'suis devant un manoir qui est noir comme un A7
J'la connais par cœur (Par cœur), le balais des acteurs (Le balais des acteurs)
J'serai pas là cette fois (Yeah, yeah), ce soir, t'auras pas d'fleurs, j'attends (Yeah)
Ce soir, t'auras pas d'fleurs, j'attends, c'était trop tard quand tu m'as dit : "Va-t'en"
On taffe dans la merde, on n'a pas pris d'vacances, seule, elle a zappé ses amis d'avant (Wow, wow, wow, wow)
Les anges sont descendus du ciel et m'éclairent comme si j'avais prié sur le tapis d'Adam (Skrt)
On bicrave, on envoie des médocs aux patients (Yeah), j'écris ta beauté mais j'me sens comme Maupassant
On sort de Gucci, on dévale la Montaigne (Ouais, yeah), sur la montagne, j'écris des contes de La Fontaine (Yeah)
On passe les péages mais la douane piste, à la base, on est parti pour le One Piece (wow, yeah)
Le jardin d'Eden, on est loin d'lui (Le jardin d'Eden, on est loin d'lui)
J'repense au dernier boss quand on passe les paliers, et le Graal est caché dans la grotte, sous la flotte, on avance (Skrt)
On s'enfume dans la cage d'escalier, tous les jours, on regarde comment passent les années (Toh, toh, toh)
Fils de putain, tu croyais qu'on allait caner, fils de putain, tu croyais qu'on allait caner (Yeah)
[Refrain : Luv Resval & Josman]
Tu vas mal, tu reviens (yeah)
Quand tu vas mal, tu reviens (woh)
Dans mes bras, tout va bien (mmh, mmh, dans mes bras)
Dans mes bras, tout va bien (skrt, skrt, skrt)
Ensemble on a fumé v'là de dope (cash, dope, yeah)
Toi, t'étais parti chercher l'antidote (cash)
T'es jamais revenue, jamais revenue, jamais revenue (skrt)
T'es jamais revenue, jamais revenue, (noir, noir)
[Couplet 2 : Josman]
J'bois le Jack noir (Noir)
Noir comme le désespoir (Yah)
Noir comme les "adieux", les "au revoir" (Yah)
J'cherche la lumière dans c'monde illusoire (Yah, ola, ouais, yah)
J'remplis mes ches-po pour combler le cœur vide (Yeah), des bijoux en or blanc, des idées morbides (Yah)
Plein d'seum dans les trippes, fuck mélancolie dans l'bide, j'ai perdu mes repères, j'ai failli tomber dans l'vide
Juste un call et je pull up (Skrt), billets en poche, j'en ai full up (Full up)
Vague d'océan dans sa culotte (Yah), ses mains sur ma cuisse quand j'pilote (Yah)
Dans l'fond d'la sip, oui, je sirote (Han), j'oublie les peines et les douleurs
J'ai des idées noires, j'vois plus les couleurs (Han), j'v'-esqui les serpents, les couleuvres (Yeah)
J'emmerde tous mes ennemis (Han), Gucci, Louis, Fendi (Eh, eh), tous les jours, lundi à lundi, méli-mélo Vivendi (Oui)
Tous les jours, j'apprends de cette vie, demain, j'vais p't-être regretter cette nuit
J'essaye d'éviter l'enfer, le monde à l'envers, pour être libre, j'm'enferme
J'bois le Jack noir (Noir)
Noir comme le désespoir (Yah)
Noir comme les "adieux", les "au revoir" (Yah)
J'cherche la lumière dans c'monde illusoire
[Refrain : Luv Resval & Josman]
Tout va mal, tu reviens (Yeah)
Quand tu vas mal, tu reviens (Woh)
Dans mes bras, tout va bien (Mmh, mmh, dans mes bras)
Dans mes bras, tout va bien (Yah)
Ensemble on a fumé v'là de dope (V'là de dope)
Toi, t'étais parti chercher l'antidote (Cash)
T'es jamais revenue, jamais revenue, jamais revenue
T'es jamais revenue, jamais revenue, jamais revenue