[Paroles de "B.C.H"]

[Intro : Hidan]
Eh
Eh

[Couplet 1 : Hidan]
J’ai gardé mon calme suffisamment longtemps
Ça m’a rendu tout froid comme un hiver, c’est plutôt monotone
J’me rappelle plus d'rien, même pas d'mes textes, putain
J’connais l'poids du mal et dans ma vie, c’est l'vice qu'a le monopole
J’ai plus 13 piges, j'sors pas des excuses
La vie, c’est trash, j’fais tout l'contraire des choses que je m’étais promises
Tu sais, j’avais des rêves, tant sont gâchés, noyés dans les cachets
J’en vendrais s'il m'restait pas la musique
Et si ça foirе, j’me dirais qu'c’est rien
J’ai l'cœur noirci par lеs doutes (sale pute)
Dedans, c’est mort mais j'garde le sourire en extérieur
J’rejoins V13 on va trancher ces fils de ****
Gros, j’suis cold as fuck, dans l’ombre bloqué, cerveau toqué
Masse est cokée, j’vois venir le drame
Si l’humain est poison, vois pourquoi j’me drogue
J’suis détraqué, qu’est-ce t’as ? J’ai vu le monde, ses aspects
J’en suis ressorti presque mort mais j’assure la présta’
Fini de faire dans l’abstrait, on trace, j’mets les gaz, gros
Haine dans la baston, j’met goal si y a passe dé‘
Putain d'merde
Si squad me valide, j’ai la force pour vout canner
Vendredi 13 sur la ligne, équipe te slash, y a du fuego toute l’année
[Couplet 2 : John S]
J'suis dans un énième vortex
À quoi bon un esprit sain dans un corps faible ?
Un gros fuck à tous ces pitres, ils sont privilégiés
J'en perds ma religion, hey, c'est moi dans le corner
T'es tout en bas mais la colère n'diminue pas le fire
Pour sa soirée, même le diable distribuait les flyers
En métamorphose comme si j'muais devant toi
J'le fais à chaud même quand j'dois tuer de sang froid, c'est
Juste du pe-ra mais c'est sérieux
J'reste underground, j'suis dans mon terrier
Cette putain d'haine, elle est intérieure
Mais comme un terrien, d'extérieur, j'étais rieur
Porter un masque pour ne plus avoir l'air faux
C'est là qu'est le paradoxe
J'deale que du sale, c'est ma manière d'avoir l'air beau
Pense à c'que ça apporte, pour un étouffé d'avoir l'air
Certains pensent que j'ai tout fait, donc à moi l'game ?
Fuck non, c'est juste un prétexte pour écrire
Des couplets pour découper, donc à moi l'game ? Fuck yeah
Si c'est pour tout mes reufs et pour m'défouler
J'reviens de loin, je n'compte plus les kilomètres
Je n'compte plus toutes les misères
J'suis toujours sombre comme un Vendredi 13

[Couplet 3 : Nello]
Wow
J’vais démontrer la puissance (brr), devenir le meilleur, c’est épuisant
Donc j’ai puisé dans ma force, j’peux pas puiser dans mes finances
Ils cassent du sucre dans mon dos, je les observe dans le silence
Ils sont si lents, ils veulent me dépasser (hahaha)
Une sale phase, je les éclate, une punchline, je les déclasse tous
Sur le front, j'leur fous la marque de mes deux bagouzes
J’leur crache dans la chatte, j’les éclabousse, wow
T’es dans le bluff, dans le paraître, moi, j’attends que le cash spawn vite dans la mallette
Mille cordes à mon arc, plusieurs couleurs dans ma palette
Des prétendants au trône mais il y a qu’une seule fève dans la galette
Rien n’sert d’jouer les bad boys, gros, c’est pas d’bol
J’arrive pour décimer ton équipe, pourtant, je n’ai pas d’potes
Pas d’bol, t’arrives pour nous taper, tu repars la patte folle
Wow !
J’suis jamais dans l’déni, j’sais qu’j’vais finir sous un bus comme Kenny
Vendredi 13, qu’ils périssent, j’suis comme shiny, comme visionnaire
Comme béni
Ouroboros premier projet, premier low kick, premier crochet
On part en conquête pour les trophées, croisade en mer pour les crosser
J’arrache leurs poils pour me brosser, ok
Je veux faire des drifts en Tesla, mercenaire, esclave, laisse place
J’suis dans le Mordor, pas dans l’espace-temps
Ta meuf m’a tout raconté, tu fais l’fuckboy mais tu baises pas
J’vous avais dit qu’c’est épuisant
J’vais devoir partir, j’réapparais tous les dix ans
Bref, qu’ils viennent seuls ou à 800
Qu’importe le nombre, j’vais démontrer la puissance