(Solo de Koma)
[intro - chants des supporters de PSG] (x4)
"Paris, est magique !"

[Scratchs] (x2)
Paris magik
‘’Dans ma zone… Ça fait un moment que c’est la zizanie’’

[Couplet 1 – Koma]
J’t’ai déjà dit, on tchatche pour le peuple
Et chaque mot que l’on dit nous font plaisir s'ils font reup'
Je n’y vois plus clair, arrache moi un filtre
Mon inspi' j’lai trouvée assis sur une colline de shit
Paris ma ville, rare qu’les gens s’unissent
On est la tous pour un but, légèrement opportuniste
S’frotter les mains et trotter sur le globe
Rêve de gosse : j’ai jamais voulu taffer pour un poste
Parait qu’ici miss faut être pistonné
Depuis l’départ on est du mauvais coté du pistolet
Paris magik et tout me semble clair
Je suis plus prés du cimetière que d’être sous les lumières
Accoutumé, si je m’échappe non !
Noires sont mes idées comme la fumée d’un pot d’échappement
Premier chapitre : le non-regret faut que vous l’sachiez
Rien à foutre car au bout d’la route on sera tous châtiés

[Refrain]
Paris lumière ouvrez vos œillères
Et veuillez nous écouter car on va tous étouffer
Paris le soir le désespoir
Par ici rien de pire que l’air que l’on respire
Paris lumière ouvrez vos œillères
Ou veuillez nous écouter car on va tous étouffer
Paris tragique, nostalgique
Par ici Paris illicite mais Paris reste magique

[Couplet 2 – Koma]
Deuxième chapitre : sois tu braque ou raque
J’habite entre la rue des gueush' et l’boulevard du crack
J’croise les cliques de flics
Le fric est la cause de tous les trafics
J'trace entre les crasses et les traces de pneus
J’passe entre les mailles même si ça passe de peu
Les poufs bavent devant des petites liasses
Te rendent ouf et tu souffres bé-bar par des p'tites tass’
La thune, on y pense en avant toute
J’habite le 18, là ou ça fait pas "toutouyoutoute"
Ma man dans ma ville j’fais ma vie
Fais ta thune, on m’a dit y qu’l’air pollué qui est gratuit
Paris la nuit là où ça tise
Attise la haine, la jalouse, la convoitise
Ça sent le fight, ça sent l’arnaque
Paris by night, 75 Fahrenheit

[Refrain]

[Couplet 3 – Koma]
Troisièmement petit con j’ai pas besoin de Beretta
Pour faire des p'tits ponts à l’état à la façon Pauleta
J’pilote ma vie comme un gros Merco
J’ai l’impression qu’après minuit les pigeons se transforment en corbeaux
De bistrot, poivrots
Prolos dans l’premier métro
Bédo, crack, héro, accros, maquereaux, quartiers chauds
Abdiquer ou relever son glaive
5h du mat’, Paris Bès-bar le soleil se lève

[Refrain]