Dans la violence de mes textes j'depeinds ma mélancolie,combien de fois mes murs ont entendu ces petis airs de nostalgie,ou ces priéres de faux amis,refré,ici on rêve de rien a part d'être refait
On rêve d'être free hein,j'ai grandi dans la même ville qu'Emile Friand
Tu sais ces coins reculés ou personne met les pieds,le genre qu'tentends jamais parler sauf quand c'est pour les dénigrer,j'cache mes peines comme la brune Mia Wallace,j'vois ses cernes avec son sang écarlate sur le carrelage, ça s'apparente a un carnage,elle part fumer une clope dans le garage
Tout s'en va depuis qu'la brise sur son cou c'est devenu banal,il y'a pas de paradis ici carles anges n'ont pas de time,pas besoin d'faire de paris,on sait qu't'es pas d'taille,j'entre dans ton coeur, ça crépite facon bagdad

J'calcule pas le roi,j'embarbque la reine puis je pars en dérapant dans une belle Mclaren,toi et moi c'est pas pareil,j'suis comme la haute couture,toi t'es comme la marque Airness ça c'est un coup dur,mes rimes te font peter un cable donc,elle n'a plus d'feuille donc elle dessine sur les cartons

Vu qu'il y a ni refrain ni topline,j'pense que personne ecoutera,2 hommes haut placés dans un tribunal personne n'est coupable,j'arrete bientôt j'reviendrais faire mon mea culpa,malgré la magie noire qu'on me jete mon ne bateau coule pas

La mére de mon frére c'est ma mére gros,quand j'y pense la vraie famille ça sert pas trop,les flammes nous entourent j'danse en enfer avec elle,dans un élan de folie on niquera tout le monde a la one again

J'remercie tout mes frères,ceux qui sont la pour moi,jamais d'la vie je grimperais seul cette montagne de moula
Une pensée aussi pour ceux qui sont plus la

Comme un vautour au sommet de l'empire state building,j'raconte pas tout a tout l'monde ptetre que j'suis trop pudique