​yung g (FRA)
Arrêt de bus, Pt.2 (Bonus Track)
(Couplet)

Sous l’armure en fer il n’y a que mon âme j’ai pas de vrais amis qui me sauv’ra si j’me noie dans le Naar
J’me balade sur un dragon bien au delà de la vallée
Kimono sur les épaules transporte le poids de mon mal

J’me pince toute les demi heure car j’suis toujours dans un nightmare
Putain d’voix me dit tu ne vas pas l’faire
La solitude est belle mais pour l’affronter faut du courage, as tu compris leur rouages, laisse toi guidеr par la haine

J’suis dans le train j’regardе le paysage, j’admire la création
Ya p’tet mon destin qui s’y cache, j’veux qu’on m’arrache de mes passIons
J'm'arrête un temps pour aiguiser ma lame
Pour aiguiser mes mots
Capuche au contours en fourrure qui cache mon iris de démon

Royal est l’aigle sur mon épaule, froid d’hiver fait que mon nez coule
J’approche de la destinatIon, inuit au fond du népal
L’ame git au fond de la forêt
J’tuerais l’emp’reur n’en doute pas j’ai juré que j’le ferais

Il a mon coeur, rendez moi mon coeur, rendez moi mon âme
Sa vie m'écoeure, ça me tient a coeur donc rendez moi mon arme
Larmes dans la fovéa
Laissez moi seul partez devant nan ne me sauvez pas
J’Bascule comme au rodéo
J’envie j’veux la money ah
Ca va mais y’a des haut des bas
J’ai cramé tout tes défauts
Dans mon casque un peu de jah, de jahseh, un peu de jazz de rodeo
(Pont)

(Couplet 2)
Immortel mon art est, âme en location
Direction l’minaret le nar pour la tentation
Encore a mon arrêt de bus , passera t-il un jour ou dormirais-je ici jusqu'à l'élévation

J’perds mes sens petit à petit, l’essence même de la vie de la mort
Elle me regarde les yeux vitreux pendant qu’j’ecris mes métaphores
Elle me souffle qu’elle a b’soin d’amour moi j’ne veux que son corps
Je l’ignore, je joue un rôle celui d’un mec mystérieux

La balle vise tes yeux pour que t'arrêtes de m’devisager
Le vieux sur la montagne m’a conseillé empli de sagesse
De calmer mes colères j’ai les yeux tournés vers l’eden
Ses souvenirs mémorables que j’avais passé avec elle

Elle t’a quand même laissé seul, y’a qu’tes amis imaginaires
Un dragon un cheval pour lui toutes les rues sont des vallees
Est ce que les autres imaginaient
Que derrière ton armure les larmes qui coulaient étaient salées

J’vis un cauchemar éveillé tout l’temps, j’dors comme je meurs, j’avais un rêve j’lui ai dit fout l'camp
J’vis un cauchemar éveillé tout l’temps, j’dors comme je meurs, j’avais un rêve j’lui ai dit fout l'camp