Elyon
Mourir Demain (Nouvelle École)
Pourquoi baby j’pense à toi maintenant, après deux trois printemps
Baby maintenant j’couche avec Satan, pour oublier ta langue
Là j’t’utilise pour finir le disque, l’Enfer tu veux qu’j’te dise ?
C’est juste d’avoir connu l’Paradis et puis d’le voir partir
Tu voulais m’appeler, oh mon cœur mon love
Mais j’ai trop fait l’aumône, pourtant là j’suis seul y’a personne d’autre
J’suis juste avec mon love, j’sais même plus si elles sont vraies mes larmes
Ou si c’est pour l’image qu’il faut qu’j’me donne pour fairе l’audimat
Pour enterrer lе diable

Mais qu’est-ce que je vais faire ? Mais qu’est-ce que je vais faire ?
Mais qu’est-ce que je vais faire ? Mais qu’est-ce que je vais faire ?

Mais qu’est-ce que je vais faire sans ton love ?
C’est ce que je me demandais à l’époque
À l’époque où j’avais plus rien, où je voulais mourir demain
Et c’est toujours la même histoire, le même vide des mêmes soirs
À l’époque des presque rien, quand je voulais mourir demain

Maintenant mon cœur c’est la fusion depuis petit j’ai des visions
Depuis petit j’suis le best yeah, yes ouais, j’parle pas de rouler en Bentley
J’parle de comme si j’avais vu le jour à Bethléem (yah)
J’étais tout seul avec clope et pensée noire
J’ai grandi j’ai toujours pas trouvé la paix moi
Et je m’allège j’ai tellement rien à perdre que j’suis venu en peignoir
J’en ai tellement rien à foutre d’eux, de leurs gueules que j’suis venu en pyjama
Et ¿Cómo te llamas?
J’suis pas venu pour parler de gun je ne fais pas de cinéma j’viens arracher les masques
Alors j’vais devenir l’artiste du siècle juste pour m’taper des barres en attendant la mort
Depuis ma cave tu sais que je mélange la rumeur des remords la rage des rats morts
Mais qu’est-ce que je vais faire ? Mais qu’est-ce que je vais faire ?
Mais qu’est-ce que je vais faire ? Mais qu’est-ce que je vais faire ?

Mais qu’est-ce que je vais faire sans ton love ?
C’est ce que je me demandais à l’époque
À l’époque où j’avais plus rien, où je voulais mourir demain
Et c’est toujours la même histoire, le même vide des mêmes soirs
À l’époque des presque rien, quand je voulais mourir demain

Mais pourtant demain, c’est juste aujourd’hui
Et je sens que je suis bien plus que ce qu’on m’a dit
Et non je n’suis pas mort, oui mon amour je suis là
Je suis puissant comme jamais c’est ça la force des larmes
Et puis maintenant je pisse sur tous mes cauchemars dansants
Qui venaient dans la nuit, pour me montrer le goût du sang
Et puis dans mon regard de lion, tu verras plus jamais la mort
Et puis j’ai des envies de briller, et de crier "mi amor"
Je sais qu’il y a quelque chose en moi, comme une lumière incolore
Qui a la beauté des fins de quand s’envolent les corps
Adieu mi amor