Fievel Is Glauque
Wrong Item
Une tranche de l'idylle
Se serre les rangs de temps en temps
Prends ce qui est inutile
Je t'autorise à me laisser ces mains
Elles claquent ton menton

Plutôt se questionner
Sans fin, sans frange, sans "quand commence-t-on?"
Tous à la fois s'enfuir
Et nous revoir pour remplir les cartons
Ne t'en fais pas tant

J'accroche à la lisière
De ton dédain ce qui alourdit, empêche mes mouvements
Carence si chère
Envie de l'abondance où elle nous manque pour un instant, le sens
Se perd dedans

Une tranche de l'idylle
Se serre les rangs de temps en temps
Prends ce qui est inutile
Je t'autorise à me laisser ces mains
Elles claquent ton menton
Une tranche de l'idylle
Se serre les rangs de temps en temps
Prends ce qui est inutile
Je t'autorise à me laisser ces mains