Gaëtan Roussel
J’passe pour une caravane
J'passe pour une caravane, pour un chien qui n'en démord pas
Le labyrinthe conduit l'homme mobile à des étreintes
Loin du réconfort
J'passe de sas en sas et mes visites s'espacent
Des ombres s'échinent à me chercher des noises
Le plus clair de mon temps dans ma chambre noire
De l'étuve au blizzard, des coups de latte, un baiser
Des coups de latte, un baiser, des coups de latte, un baiser
J'passe sous silence mes avatars, j'passe sur tes frasques
M'obnubiler pourquoi, pour un vasistas, loin du réconfort ?
J'passe de sas en sas et mes visites s'espacent
Mes élans me courent et m'entraînent vers d'autres riveraines
Vers la grande inconnue, loin du réconfort
J'passe de sas en sas et tes visites s'espacent
Des ombres s'échinent à me chercher des noises
Le plus clair de mon temps dans ma chambre noire
De l'étuve au blizzard, des coups de latte, un baiser
Des coups de latte, un baiser, des coups de latte, un baiser
Des coups de latte, un baiser, des coups de latte, un baiser
Des coups de latte, un baiser, des coups de latte, un baiser
Des coups de latte, un baiser, des coups de latte, un baiser
J'passe de sas en sas et mes visites s'espacent
Des ombres s'échinent à me chercher des noises
Le plus clair de mon temps dans ma chambre noire
De l'étuve au blizzard, des coups de latte, un baiser
Des coups de latte, un baiser, un baiser, un baiser
Des coups de latte, un baiser, des coups de latte, un baiser
Un baiser, un baiser, un baiser, un baiser
Des coups de latte, un baiser