Toto Cutugno
L’albatros
Vois cet oiseau blanc, prisonnier du ciel
Dans sa grande cage étoilée
Moi, de temps en temps je me sens pareil
À cet éternel exilé

Lui, qui ne sait pas replier ses ailes
Moi, qui ne sais pas m'arrêter

Vois cet oiseau blanc, prisonnier du ciel
Dans sa grande cage étoilée
Moi, de temps en temps je me sens pareil
À ce voyageur fatigué

Toi, de tout en bas parfois tu l'appelles
Lui, il voudrait bien se poser
Mais il ne peut pas replier ses ailes
Et toi, tu ne peux pas t'envoler