Vincent Vallières
Mélie
Mélie tu me touches et tu me tapes
Tu me donnes envie
De partir sur la dérape
Quand on se pogne
Et que tu claques la porte
Je te crie par la fenêtre
Que le diable t’emporte

Mélie tu m’allumes et tu m’énerves
Tu m’évites et ça m’achève
Là je sais plus t’es où
Et je t’attends comme un chien
Assis dans la cuisine
La tête dans les mains

Mélie on gaspille des heures
À se crier des noms
Je m’acharne et toi tu pleures
Et c’est vraiment con

Quand tu rappliques et me souris
Je t’assure que c’est vraiment fini
Puis t’insistes et je flanche
Et te pousse à la chambre
Et là ça recommence
Mélie me prends-tu pour un pion
Quand tu me joues
D’avant puis de reculons
Tu restes là bockée
Toi qui as toujours raison
Tu mélanges l’amour et l’ambition

Mélie t’as pas de manières
Mélie mèle-toi de tes affaires
Trop saoul ou trop sage
Tout ce que je fais t’enrage
C’est clair qu’on colle plus
Sur la même image

Mélie on gaspille des heures
À se crier des noms
Je m’acharne et toi tu pleures
Et c’est vraiment con

Quand tu rappliques et me souris
Je te jure que c’est vraiment fini
Puis t’insistes et je flanche
Et te pousse à la chambre
Et on reprend la danse