[Paroles de "benelli828" ft. Django]
[Intro : Wallace Cleaver]
J'arrête mes phrases avec des points d'suture
J'allume le joint l'plus pur
Baisé par l'passé, j'prends soin du futur
J'tire sur l'joint l'plus pur
[Couplet 1 : Wallace Cleaver]
Yamaha, la bécane, lève les yeux au ciel, amenez-moi la médaille, les millions, les chiennes
Les balles fusent, impossible d'savoir d'où elles viennent, eux contre nous : des cailloux contre une pluie d'Opinels
J'ai rangé l'YZ, Lisou sort l'KTM, ça pue l'pollen, j'en roule un millionième
J'baise une Italienne, elle crie : "Dio mio", j'parle à mon moi d'enfant, j'vois pas qui d'autre qui m'aime
Vas-y, nique ta race, la vie m'tabasse, j'suis avec Tabuziov, j'ai pris six Alpraz'
J'brise la cage, j'connais des grands chiens d'la casse qui pourraient t'baiser si t'as l'DA-S' (Logique)
J'suis tellement loin, les frérots, ils m'voient plus dans l'rétro'
SLN, la misère pas l'métro, pour ça qu'j'ai la tête dans l'étau depuis très tôt
Azazel, la ZaZa, l'caramel, pas là-bas par hasard, j'me souviens pas d'la veille
Bientôt 15K dans la montre, m'verront plus pareil
J'serais toujours pas heureux, l'temps passera jamais, jamais, jamais plus pareil
Quechua jusqu'à Chanel, 206, McLaren, j'fais un rêve où j'me fais flasher par l'appareil
'vec les Cartier, j'ai déjà les pupilles à Neji, j'te laisse imaginer avec les Bagatelle
J'ai pris du Tramadol, j'en vois les parallèles, John Obi Mikel, j'envoie que des parallèles
Ils m'appellent comme la chose qu'on trouve à La Chapelle, bientôt, m'appelleront comme le truc dans la chapelle
Ça m'fait mal à la tête, ça m'fait mal à la tête, ça m'fait mal, mal, mal à la tête
Ça fait dix ans qu'j'attends un coup d'bigo d'l'espoir, y a que maintenant qu'j'crois qu'ça rappelle (Toujours)
[Refrain : Django, Wallace Cleaver]
À part mon reflet, j'rends de compte à personne
J'les baise avec la cal' de Woody Harrelson
Moi, d'puis tout petit, j'ai appris à parler par le torse
J'connais des gars qui pourraient faire rentrer un obèse dans un sac de sport
[Couplet 2 : Django]
Pas d'"Je t'aime", pas de "Moi aussi", apparemment, j'suis masculin toxique
J'ai fait tout c'qui feront jamais, j'les laisse entre eux, dire que c'est impossible
J'peux pas la ken, y a trop d'signes comme nocifs derrière ses faux-cils
Médisants sont tout secs, pendant qu'ils s'affolent, la kichta grossit
Dans le noir, j'ai les yeux comme félin, j'vois les hommes, j'en fais des cauchemars
On va t'fumer mais c'est rien d'sérieux, c'monde est une blague et qu'est-c'qu'on s'marre
Elle me dit que j'fume trop d'guinzes, mon grand-père a vécu jusqu'à 93
Et il s'mêlait d'ses affaires, espèce de pute, la plus zinda de haut en bas
Sur la prod : Satan 2, nucléaire, impact, différentes ethnies dans un 4x4
Fuck le 6 fois 3, jamais j'passe un pacte
Petit, j'voulais d'Jessica Rabbit, y a des choses qui ne changeront pas
Et les yeux racontent toute l'histoire, on sait très bien qui est qui sans qu'on s'parle
Et on rendra tout, impossible de s'cacher du ciel
J'fais un rêve où j'me noie dans l'océan, j'me réveille avec le goût du sel
Il est parti acheter du lait, quinze ans plus tard, il est où papa ?
Mon reuf, j'les ai toutes daba, c'est que des sorcières, des Yubaba
[Refrain : Django, Wallace Cleaver]
À part mon reflet, j'rends de compte à personne
J'les baise avec la cal' de Woody Harrelson
Moi, d'puis tout petit, j'ai appris à parler par le torse
J'connais des gars qui pourraient faire rentrer un obèse dans un sac de sport
À part mon reflet, j'rends de compte à personne
J'les baise avec la cal' de Woody Harrelson
Moi, d'puis tout petit, j'ai appris à parler par le torse
J'connais des gars qui pourraient faire rentrer un obèse dans un sac de sport
À part mon reflet, j'rends de compte à personne
J'les baise avec la cal' de Woody Harrelson
Moi, d'puis tout petit, j'ai appris à parler par le torse
J'connais des gars qui pourraient faire rentrer un obèse dans un sac de sport