Zen Bamboo
Les Requins (version ”Reflux global / Maladie mentale”)
C’est pas la fin du monde
Si je m’égare encore
J’ai la conscience tranquille
Je sais pas où elle va
Quand elle part de chez moi
Un oiseau dans la ville
On s’aime comme des chiens
On s’aime comme des loups
Par le cou
Comme des fous
Ton coeur est un couteau tranchant
J'ai jamais voulu ca pour toi
Même dans mes heures les plus sombres
Pour les requins j’avais mon couteau j’étais prêt
Le doigt vissé sur le cran d’arrêt
Mais pour te prendre j’ai dû lâcher
Tu étais le chaud dans mon sang
Le rouge sur mon visage
Un corps sans coeur au fond de l’eau
Il plonge sans cage parmi les grands blancs
Les deux rangées de dents
Je t’aurais embrassé plus fort ce soir la
Si j’avais su que tu reviendrais pas
J’aurais tout donné en un instant
Pour te faire rester plus longtemps avec moi
J’ai vu cet oiseau ce soir là
Celui qui me faisait penser à toi
Vulgaire roadkill rétamé répandu sur la chaussée mouillée
Les ailes écartées en crucifié
Qu’est ce que ca voulait dire ?
Absolument tout