Abd Al Malik
L’alchimiste
[Refrain]
Je n'étais rien
Ou bien quelque chose qui s'en rapproche
J'étais vain et
C'est bien ce que contenait mes poches
J'avais la haine
Mélange de peur, d'ignorance et de gêne
Je pleuvais de peine
De l'inconsistance de ne pas être moi-même
J'étais mort
Et tu m'as ramené à la vie
Je disais : J'ai ou je n'ai pas
Tu m'a appris à dire : Je suis
Tu m'as dit le noir, l'arabe, le blanc ou le juif
Sont à l'Homme ce que les fleurs sont à l'eau
Oh, toi que j'aime
Eh, toi que j'aime

[Couplet 1]
J'ai traversé tant d'avenues
Tellement attendu ta venue
Qu'à ta vue je ne savais plus si c'était toi
Si c'était moi
Si c'était moi
Si c'était toi
Eh toi que j'aime
Je criais ton nom
Dans le désert des villes que je traversais
Car sûr de ton existence
Je savais que tu m'entendrais
Eh, toi que j'aime
Oh, toi que j'aime

[Refrain]
Je n'étais rien
Ou bien quelque chose qui s'en rapproche
J'étais vain et
C'est bien ce que contenait mes poches
J'avais la haine
Mélange de peur, d'ignorance et de gêne
Je pleuvais de peine
De l'inconsistance de ne pas être moi-même
J'étais mort
Et tu m'as ramené à la vie
Je disais : J'ai ou je n'ai pas
Tu m'a appris à dire : Je suis
Tu m'as dit le noir, l'arabe, le blanc ou le juif
Sont à l'Homme ce que les fleurs sont à l'eau
Oh, toi que j'aime
Eh, toi que j'aime

[Couplet 2]
Ni la rue ni les drames
Ne m'ont voilé à ta vue
Même au plus bas
Même quand je disais que tout était foutu
Je t'aimais comme si je te voyais
Car si je ne te voyais pas
Je savais que j'étais vu par toi
Eh, toi que j'aime
Tu es un lion
Et ton coeur est un soleil
L'ultime secours de ceux perdus dans leur sommeil
Eh, toi que j'aime
Oh, toi que j'aime

[Refrain]
Je n'étais rien
Ou bien quelque chose qui s'en rapproche
J'étais vain et
C'est bien ce que contenait mes poches
J'avais la haine
Mélange de peur, d'ignorance et de gêne
Je pleuvais de peine
De l'inconsistance de ne pas être moi-même
J'étais mort
Et tu m'as ramené à la vie
Je disais : J'ai ou je n'ai pas
Tu m'a appris à dire : Je suis
Tu m'as dit le noir, l'arabe, le blanc ou le juif
Sont à l'Homme ce que les fleurs sont à l'eau
Oh, toi que j'aime
Eh, toi que j'aime