Tu décides un peu trop tard
De mettre un voile un peu noir
Sur nos airs de déjà vu en quai de gare
Tu signes d’un geste intrépide
La fin d’un pompeux solide
Écrasé par les années de nos dégâts
Tu te perds dans tes délires, tes insomnies
Tu dis que nos vies ne sont plus ici
Tu dis que ta vie semble si...
Tu parles en langue mandarine
Des hommes d'Amérique latine
De leurs mots si délicats que je n’ai pas
Tu te perds sous les épines de tes envies
Tu dis que nos vies ne sont plus ici
Tu dis que ta vie semble si...
{Air fredonné}
Tu te perds sous les épines de tes envies
Tu dis que nos vies ne sont plus ici
Tu dis que ta vie semble si...
Tu déchires seule sur ton lit
Nos souvenirs sans racine
Sur les airs d’un opéra qu’on n’fini pas
Sur les airs d’un opéra qu’on n’fini pas
Je te perds dans le désert de nos dégâts