Arvin
Noor
[Couplet 1]
As tu déjà essayé d’ouvrir les yeux pendant la nuit noir
Est ce que t’as déjà espéré et prié jusqu’à ne plus croire
Est ce que t’attend la pluie et puis tu puises dans le puit de la vie pour y chercher une goute d’espoir
Quand t’as du mal à fixer le miroir
Des pensées si noir qu’y voir clair est difficile
Voir impossible croire l’impossible mais mon être est si paisible
Est ce que t’as déjà du choisir entre ce que tu veux et ce que t’as besoin
Dur choix je m’aveugle pensant que ce que je veux c’est ce que j’ai besoin
Yeah yeah paix à ton âme
T’es si proche de moi pourtant je te sens si loin
Yeah yeah paix à ton âme
Je te veux proche de moi mais là où t’es t’y es si bien
Est ce que tu manges par besoin ou par gourmandise
Le coeur ne cesse de s’alimenter car ce goût m’enivre
Un doux lence-si une douleur si vive que mon poult ralenti
Est ce que tu cherches à apprendre tu veux rester un apprenti
Est ce que tu veux atteindre ton but à en oublier la moral
Ou ton but c’est de réussir sans oublier la moral
As tu peur d’être seul quand tu vois que son visage devient trop pâle
Ou t’as peur de pas réussir à parler avant qu’il soit trop tard
Te tu caches dans le labyrinthe de tes pensées dans chaque recoins
M’en oublie tu ou attend tu juste que je te rejoigne
Est ce que t’arrive pas à écrire sur cette feuille donc tu roules un gros joint
Mais c’est pas bon pour toi et ça tu le ne sais que trop bien
Est ce que tu te poses des questions dont tu connais la réponse
Car t’es fatigué de la vérité t’attend qu’un mensonge te repose
Genre j’ai pas réussi jusque là pourquoi ça devrait changer c’est con
Pourquoi je continu j’crois j’ai eu ma dose c’est bon
As tu déjà dis « t’inquiète j’vais marcher » quand on voulait te deposer
Car être solo c’est être reposé
Bien user des armes c’est les déposer
Accepter l’amour c’est y renoncer
Est ce que t’es trop lâche pour continuer ou trop lâche pour mettre fin
S’mettre bien ne consiste pas seulement à avoir le pocket plein
Cette quête-pla que t’achètes sera t’elle la dernière
Puis quand tu te sens loin de la nature et tu roules un nouveau joint d’herbes
Triste dilemme il suffirait que la vie même
Te rend à même d’en oublier les saveurs amères ou ta peine d’hier
Mais c’est trop tard repenser au passé plus qu’un retour en arrière
Et c’est trop de l’art selon toi quand elle refait des manières
Es tu à bout de souffle à travers tous ces tourments
As tu déjà penser mettre ton coeur dans un barillé tournant
Dans l’oeil d’un cyclone soufflant
Dans un volcan de lave coulante
Souffres tu d’une solitude qui t’accompagne ouai tout le temps
C’est ironique dit comme ca t’y pense aussi surement
Est ce que tu baisses les bras car tu fais de ton possible si durement
Est ce que t’as déjà raté des occasions en te disant impossible tu ment
Car t’avais peur quoi se foute encore de toi comme si tu tombais si nullement
Est ce que t’ouvres plus les messages pour ne pas laisser en vu
À chaque lettre tu te demandes si c’est sage d’en oublier ses buts
Pour ce truc là un truc dont je me rappelle plus
L’amour j’crois ouai askip ça cour à tous les coins de rue

[Couplet 2]
Les mots sont un poids
Un poids que je porte sur me épaules
J’trouve ça très drôle quand j’essais de me rapprocher de toi
Mais des que je te frôle je ressent le froid d’un océan de larme
Ton rire est une balle quand tu sais que ton regard est une arme
Et je sent qu’au fond de moi mes sentiments ont une âme
Une par mis tant d’autre qui ne fais pas l’unanimité
Je suis trop dure avec moi trop souvent je me blâme
On dirait j’ai une vie à vivre et puis un autre ouai à imiter
Alors j’attend que la lumière se tamise je suis pas mal réservé
Tu viens empocher ta mise tu repars quand t’es énervé
Les rides nocturnes m’ont appris que le jour vien plus vite qu’on l’imagine
Alors je m’octrois un rayon dans toute ma sombre imagerie
Le rêve est un espoir qui épouse la lune
Le marchand de sable semble se noyer sous des tones de dune
Le mensonge est d’argent et le silence est d’or
Mais le mensonge s’trouve marrant quand le silence dort
Mon rêve ne vaut pas 1700e par mois j’ai préféré tout miser
Parfois je me demande si je sourirai ou je souffrirai
J’fais genre de pas comprendre alors que tout est sous titré
Mais si tu pars je sais pas si tu me manqueras ou si je t’oublierai

[Couplet 3]
Passager au bord de ce train ma vie. y ressemble également
Les paysages changent si vite que ma pupille ressent l’éclatement
J’arrête d’écrire un long moment, long comme l’égarement
J’veux dire as tu le droit de me faire ressentir tout ça ouai légalement
Effarante est l’oeuvre que seul l’artiste peut comprendre
Je me soustrais à mes obligations pendant une seconde j’prend
Ce qu’on prend pour acquis
Ce con pense connaitre ma vie
Mais ce con c’est moi par dis
Puis je me concentre et je pris
Fort. fort comme si la prière rend beau
Mais mes prières font l’effet de toute petite goute dans l’eau
Épousant le beau mes yeux n’éprouvent que le faux
Je ressens toutes les brûlures causé partout par tout ce sang chaud
Hey Hey