[Hakim Meridja aka Bouchkour]
Difficile de trouver les mots si l'on regrette
Combattre son égo et pardonner peut-être
Liés par le sang, aujourd'hui tu n'es plus là
Troublé par ces sentiments, désolé mon cœur n'entend pas
Parfois les discours nous blessent et nous inondent
La misère est telle que la violence est féconde
Au-dessus de toi mes visions ont traversé le temps
Nous reste-t-il un peu d'espoir et de discernement
Pour des erreurs faites dans notre vie, on s'empêche d'être heureux et on s'enterre
Les douleurs restent nous portent et nous lient, qu'attendons nous pour fuir ces rêves
Besoin d'un monde attentionné, rire des erreurs et du passé
Là où la honte et les mots, pointent nos défauts, tournés vers le ciel
Eloignous-nous, de là où les larmes et nos souffrances nous ont souvent égarés oui ça c'est vrai
Délivrons-nous, de là où la haine et l'arrogance ont blessé manipulé oui ça c'est fait
Oui je pèse mes maux, mes erreurs et mes fautes
Et je souffre en silence assume les conséquences j'écris mes peines en versant ces quelques mots
Pour des erreurs faites dans notre vie, on s'empêche d'être heureux et on s'enterre
Les douleurs restent nous portent et nous lient, qu'attendons nous pour fuir ces rêves
Besoin d'un monde attentionné, rire des erreurs et du passé
Là où la honte et les mots, pointent nos défauts, tournés vers le ciel
Je regarde là-haut, aucun écho sur ce qu'on doit dire ou ne pas faire
J'ai troqué mon trône choisi mon rôle et toi tu restes là à ne rien faire
Briser les chaînes du père et du fils, que l'on s'entraîne à défier nos vices
Et pour un jour pardonner j'insiste que nos cœurs incitent à partir en paix
Qu'on se le dise, les douleurs appartiennent au passé
Seules les pensées survivent sur des images qu'on ne peut effacer
On joue avec les textes sans pouvoir lire les cieux
Des paroles ou un geste pour que le soleil soit radieux
Difficile de trouver les mots si l'on regrette
Combattre son égo et pardonner peut-être
Liés par le sang, aujourd'hui tu n'es plus là
Troublé par ces sentiments, désolé mon cœur n'entend pas
Parfois les discours nous blessent et nous inondent
La misère est telle que la violence est féconde
Au-dessus de toi mes visions ont traversé le temps
Nous reste-t-il un peu d'espoir et de discernement