Livaï (FRA)
Soleil transparent
[Couplet 1]
Eh
La vision trouble, j’ai trop bu la potion
En phase dans une autre dimension
T’sais qu’on monte toujours par étape
Au pas d’course dans les fissures, les écarts
La vie c’est pas facile et pour toute ma famille j’me dois d’braver toutes mes peurs
La même peine que j’vois dans leurs regards, tu sais, moi j’ai connu la mort très jeune
Confronté à la solitude
Et j’vois tellement d’compassion dans les yeux d’ma daronne
Trop d’haine à assouvir, frère
C’est l’rap qui m’a donné la parole
Au final, on s’en sort, hеin
Avec les reufs, lеs sous et on encule tous ceux qui parlent
Mais y a des vérités qui s’maquillent pas
[Pré-refrain]
On s’retrouve après la fête
J’ai pas sommeil à cause du cool-al
J’vais passer toute la soirée sur mon tel
Ils parlent mais j’suis sûr de moi, ouais
J’suis sûr de moi, ouais
On s’reverra sur le toit
[Refrain]
La peau étanche, han
J’ai des blessures sous mes pansements
Des fois, le soleil est transparent
J’ai des blessures sous mes pansements
Dans la cabine en mode acharnement
J’peux disparaître en un quart de temps
Quand j’aurai brûlé ma plume
Mon gava, tu m’verras plus
[Couplet 2]
J’vois des visages qui ont changé depuis qu’le cash est rentré
Le soir, j’té-cla mon teh et j’ai full up de pensées
Les paroles se déchirent
Les visages se dessinent
On s’kiffe et on s’piétine
Trop d’salope qui s’défilent
Faut qu’on trace
On avait raison, ce soir j’pars
J’quitte la maison
Ouais, en c’moment dans ma tête j’vois près, j’suis heureux d’y penser
On recharge la batterie, plus qu’une barre
J’sors de ma prison, monte en grade
Fais sauter les caissons
Ouais, en c’moment dans ma tête j’vois près, j’suis heureux d’y penser, ya la la la la la
[Pré-refrain]
On s’retrouve après la fête
J’ai pas sommeil à cause du cool-al
J’vais passer toute la soirée sur mon tel
Ils parlent mais j’suis sûr de moi, ouais
J’suis sûr de moi, ouais
On s’reverra sur le toit
[Refrain]
La peau étanche, han
J’ai des blessures sous mes pansements
Des fois, le soleil est transparent
J’ai des blessures sous mes pansements
Dans la cabine en mode acharnement
J’peux disparaître en un quart de temps
Quand j’aurai brûlé ma plume
Mon gava, tu m’verras plus