(Calogero/Lionel Florence/Gioacchino Maurici)
Tourner le dos aux canyons arides
Aux éoliennes qui tournent dans le vide
S'il y a des mots qu'il faudrait que j'écrase
C'est sur les murs que seule mon ombre rase
J'ai pris le temps d'apprendre la patience
À mon allure, de prendre mes distances
Sur la route, je trace, je trace les heures qui nous séparent
Je trace, je trace à te voir en face
Je trace au marqueur les contours de l'amour avant qu'il passe
Sur la route, je trace tout de nous, je trace tout de nous
Garder le souffle pour aller aux deux vents
Du fond du gouffre jusqu'au point culminant
S'il y a des mots qu'il faudrait que j'efface
C'est sur les murs que seule mon ombre rase
J'ai pris le temps d'apprendre la patience
À mon allure, de prendre mes distances
Sur la route, je trace, je trace les heures qui nous séparent
Je trace, je trace à te voir en face
Je trace au marqueur, les contours de l'amour avant qu'il passe
Sur la route, sur ma route, je trace tout de nous, je trace tout de nous
Le reste, d'un coup d'essuie-glace, à la mémoire, j'efface
Sur la route, je trace tout de nous, je trace tout de nous
Je trace tout de nous, je trace tout de nous, je trace tout de nous