[Intro]
Pour écouter mes sons, pas besoin d'aimer le rap et, dans mes lyrics
En analysant mes mots, tu démêleras des mélodies rares, un nouvel arôme
Et dix mille rimes à la ronde où la rue fait des rêves, allez, reste là
Y’a dix mille rimes à la ronde où la rue fait des rêves, on arrive, allez, reste là
[Refrain]
En bas des bâtiments, la douleur est immense
Dis-moi ce que tu prends pour atténuеr la souffrance
Ça bédave en buvant, dеs fois, ça prend des vacances
À chacun son médicament : moi, je prends de la distance
Si seulement tous ces gens savaient c'que ma tête pense
En bas des bâtiments, la douleur est immense
Je regarde en silence, oh
Si seulement tous ces gens savaient c'que ma tête pense
[Couplet]
Pour écouter mes sons, pas besoin d’aimer le rap et, dans mes lyrics
En analysant mes mots, tu démêleras des mélodies rares, un nouvel arôme
Et dix mille rimes à la ronde où la rue fait des rêves, allez, reste là
Y'a dix mille rimes à la ronde où la rue fait des rêves, on arrive, allez, reste là
Viens t'installer et laisse-toi aller ; moi, je distille
Un style hostile au stylo disent-ils
Non, j'en ai plus rien à ler-bran', ceux qui le veulent vont lever les bras
Si tout ça n'a rien de vraiment cérébral, c'est face au danger qu'on reconnaît les braves
Et ceux qui le veulent vont lever les bras, non, j’en ai plus rien à ler-bran’
Si tout ça n'a rien de vraiment cérébral, c’est face au danger qu'on reconnaît les braves
On veut du bruit, levez les bras, on est nombreux pris dans les branches
Ou sous les débris, mais peu de gens brillent, ça crée des embrouilles, des rues délabrées
Mais soyons des bro' dans la débrouille, on est nombreux, faisons du bruit
Ouais, soyons des bro' dans la débrouille et, vu qu’on est nombreux, faisons du bruit
J'envoie du lourd et vends du rêve en live et en direct
On l'ouvre et on dirait qu't'es love, alors dis : "Merci, Wapalek"
[Refrain]
En bas des bâtiments, la douleur est immense
Dis-moi ce que tu prends pour atténuer la souffrance
Ça bédave en buvant, des fois, ça prend des vacances
À chacun son médicament : moi, je prends de la distance
Si seulement tous ces gens savaient c'que nos têtes pensent
En bas des bâtiments, la douleur est immense
Je regarde en silence, oh
Si seulement tous ces gens savaient c'que nos têtes pensent