Georgio
31 Janvier
[Paroles de "31 Janvier" ft. Victor Solf]

[Couplet 1]
Je n'veux plus te voir mal de temps en temps, toi et moi, à jamais nos âmes d’enfants
Rhum citron et sucre de canne, on parle de tout, de drogues dures et de calme
Et j’échange ma vie contre la tienne, je reste silencieux quand tes histoires foutent la haine
Tu m'rends fou car t’es folle et t’es trop libre et c’est tout c'que j’aime et c’est horrible
Encore un drôle de soir où on sort et on boit et on baise et on dort
On use de nos voix même si l’silence est d’or
Et c’est comme ça qu’on pense, quand on aime et qu’tout va bien
J’efface les galères tour à tour quand j’sens ta peau sous ma main
Et j’me d'mande combien d'temps ça va durer, prêt pour m’aventurer
Pourtant pour l’amour, j’ai trop donné avec de faibles retours dans ce monde de vautours, seul abandonné
J’t’ai déjà menti et j’ai regretté, maintenant comme une équipe, on avance ensemble
Et quand je sors la nuit, oh tu sais, j’m’en veux d’te laisser moins confiante

[Pont]
Et quand je sors la nuit
Oh tu sais, j’m’en veux d’te laisser moins confiante

[Couplet 2]
Pour communiquer, tout me paraît plus simple, tu me connais si bien
L’esprit apaisé, j’viens essuyer tes larmes, t’as tout mon soutien
Quelques difficultés, j’suis loin d’être parfait, encore moins l’plus mature
Mais tout va changer, à chaque jour ses efforts pour ne plus qu’tu satures
Toutes mes journées sont différentes car t’es à mes côtés, j’suis prêt à t’écouter
On joue la vie à deux, ma vie a changé, j’ai ton sourire en plus
Aujourd’hui est une bombe, puis un jour tu t’lèves et l’amour est une ombre
L’amour est une honte, mais moi dès l’réveil la vie est moins terne, j’ai ta vision du monde
[Couplet 3]
Ça faisait si longtemps qu’j’avais pas ressenti le manque parce que c’est plus dur quand t’es loin d’moi
Le temps nous rapproche et les dangers s’éloignent, mon havre de paix se trouve entre tes bras
H24 on en revient aux rires, quand j’m’énerve en voiture
Toujours ensemble, j’t’accompagne en vélo quand tu cours en nature
J’compte même plus, tous nos débats, ni nos nuits par terre sur mon matelas
Les restos sur Paris dans mon frigo y’a r, on vit trop à l’arrache, on n'a plus l’choix
Les débuts, c’est toujours plus intense, alors oui, j’ai peur de l’avenir, des plans sur la comète
Le meilleur, j’sais pas mais le pire est à venir parce que tout est parfait, oh oui, tout est parfait