Zoufris Maracas
Si tu crois que cette nuit
Si tu crois que cette nuit
Je vais te laisser tranquille ;
A demie endormie, faut que tu te déshabilles
Moi mon plaisir à moi, c'est de te rendre fébrile ;
Que tu innondes les draps avec ta sueur divine
CEtte nuit dans tes bras, je vais oublier l'usine ;
Mon patron qui m'aime pas
Et ses secrétaires mesquines
Allez réveille-toi, ouvre l'oeil et dis-moi
Que c'est moi que tu veux tout collé contre toi
Ma main dans tes cheveux sans que tu ne me vois
Qu'au plus profond de toi je fasse ce que je veux
Si tu crois que cette nuit je vais te laisser tranquille ;
A ? l'envie, de goûter à ta vanille
Moi mon plaisir à moi c'est de te rendre fébrile
Rouler par dessus toi, jusqu'à ce que tu me supplies
De descendre plus bas, et de pousser les machines
De ton corps aux aboies, jusqu'à ce que tu t'illumines
Allez réveille-toi, ouvre l'oeil et dis-moi
Que c'est moi que tu veux tout collé contre toi
Ma main dans tes cheveux sans que tu ne me vois
Qu'au plus profond de toi je fasse ce que je veux
Une vie avec toi, pour éviter les abîmes
De ma vie de forçat, et en ? avec la routine
Un coup toi un coup moi, une langue si facile;
Pas besoin de vocabulaire pour se mettre à l'envers...
Allez réveille-toi, ouvre l'oeil et dis-moi
Que c'est moi que tu veux tout collé contre toi
Ma main dans tes cheveux sans que tu ne me vois
Qu'au plus profond de toi je fasse ce que je veux