Dalida
C’est un jour à Naples
C'est un jour à Naples qu'on s'est rencontrés
A la même table du même café
Et si le miracle a recommencé
C'est à Naples, à Naples, à Naples
On voyait les barques danser près du quai
Le long des baraques des gamins nus-pieds
Couraient dans les flaques avec des paniers
C'est à Naples que tout çà est arrivé
Sous le bleu du ciel le beau linge blanc
Pavoisait gaiement aux fenêtres aux fenêtres dans le soleil
Et devant la mer entre les rochers
On s'est embrassés sans rien dire sans rien dire sous le ciel clair
J'avais ton visage qui se renversait
Je sentais les vagues qui nous emportaient
Et moi comme une algue je m'alanguissais
Et tout Naples flamboyait comme l'été
Sous le bleu du ciel le beau linge blanc
Pavoisait gaiement aux fenêtres, aux fenêtres dans le soleil
Le temps a passé mais n'a rien changé
Il est sans danger ceux qui s'aiment, ceux qui s'aiment sont épargnés
C'est toujours à Naples qu'on s'aime d'amour
Là-bas les miracles ont lieu tous les jours
Le temps redoutable protège l'amour
C'est à Naples que l'on s'aime pour toujours
C'est à Naples que je t'aimerai toujours
La,la,la,la,la,la,la...