Claude François
Eloïse
Chaque nuit je suis là, elle sait que je suis là
Je suis d'ailleurs toujours là à l'attendre
Est-il possible de tant souffrir sans pouvoir en mourir, ni même en rire
Ni même se défendre ?
Et chaque nuit j'attends misérablement Eloïse, Eloïse

Tu sais que je suis fou, oui
Je sais je fais pitié
Oh ça m'est égal, mais réponds moi, réponds moi !

Et je regarde le ciel mes yeux mouillés se voilent
Je plonge dans les nuages
Je m'accroche aux étoiles
Et je me perds je tournoie dans les airs, et je contourne la lune
Soudain je tombe sur terre
Je suis tout seul j'ai mal, je supplie et je crie Eloïse, Eloïse

Tu es à moi je sais que tu viendra, tu viendra...

Si Eloïse pouvait comprendre tout ce que j'ai à lui donner
Mon Eloïse tu vas m'entendre, tu vas venir, tu vas rester

Et pourtant le temps passe les nuits deviennent plus froides
L'été devient l'hiver, ma vie devient l'enfer
Mon coeur devient tout noir et je m'habille de désespoir
Ma tête explose, ma vie se décompose
M'entendra-tu avant que je ne disparaisse vraiment ? Eloïse, Eloïse
Personne n'a souffert autant que moi
Tu es à moi tu me reviendra
Personne n'a le droit de te garder, te garder !
Je suis le seul qui peut t'aimer, qui peut t'aimer, le seul
Moi, toi, toi, toi, toi, mon Eloïse
Oh je t'appelle, puisque je t'aime
Non, non, non, non, non, mon Eloïse
Reviens moi vite, il faut que tu revienne
Non, non, non, non, non