Claude François
Le temps que j’arrive à marseille
Le temps que j'arrive à Lyon, elle se lèvera
Elle trouvera les mots que j'ai laissé sur la porte
Elle rira quand elle lira que je l'ai quittée encore
Parce que je l'ai quittée déjà si souvent, avant
Le temps que j'arrive à Valence, elle travaillera
Elle commencera sans doute à s'inquiéter de mon silence
Et elle me téléphonera
Mais tout ce qu'elle entendra sera ce téléphone
Qui sonnera, qui sonnera, sonnera encore
Le temps que j'arrive à Marseille, elle dormira
Elle se retournera dans son lit en cherchant le sommeil
Et elle m'appellera encore
Elle criera, elle pleurera même
En réalisant que je l'ai vraiment quittée
Même si quelquefois j'ai essayé
De le lui faire comprendre, souvent
Elle ne croyait pas, un jour, je m'en irais vraiment
Je m'en irais vraiment
(Le temps que j'arrive)
Je m’en irais vraiment
(Le temps que j'arrive)
Je m’en irais vraiment
(Le temps que j'arrive)
Je m’en irais vraiment
(Le temps que j'arrive)
(Ooh, le temps que j'arrive)