Christophe
Ces petits luxes
Ces petits luxes providentiels
N'ont plus l'goût de nos amours...
Bien chambrés
Du grand hôtel vide à la rue, il n'y a qu'un pas
La foule qui me mène... à toi a tout l'air, l'air d'un faux pas
Le Raphaël seul... a du vernis quand je balance
Entre deux belles, entre deux belles
Le superflu c'est... l'amour me comprends-tu ?
Ton indifférence est le cœur de ma folie
Et ton allure singulière a la distance et la beauté
Des photos... glacées que j'aime...
Plus tu m'échappes, plus tu me plais
Aux jeux de l'amour, on s'est bien ruinés
Tes seins, ta peau douce, tes yeux mouillés
Ta jeunesse désormais me laissent sans regrets
Le superflu c'est... l'amour, le comprends-tu ?
Ton indifférence me va droit au cœur
Tes accents superficiels ont la distance et la beauté
Désespérés... des rares instants perdus ensemble
C'est dommage rien ne va plus
Entre nous rien ne va plus
Ces petits luxes providentiels
N'ont plus l'goût de nos amours
Bien chambrés
Plus tu m'échappes, plus ça me frappe
Je retombe amoureux, là presqu'aussi sec
Je te dis reste, j'retourne ma veste
Nous voilà... encore une fois... dans de beaux draps
Plus tu m'échappes... plus tu m'plais
Et c'est comme ça... que tu m'attrapes
Non n'essaie pas de comprendre
Ce qui t'échappe, c'est toujours moi
Ces petits luxes providentiels
Ont le dégoût de nos amours
Même chambrés
Ces petits luxes providentiels
Font leurs adieux au Raphaël
En privé...