Françoise Hardy
Mes jours s’en vont
Mes jours s'en vont, mes jours près de toi
Je sais bien qu'ils ne reviendront pas
Lorsque tu dors, je me dis parfois
Que, là-bas
D'autres peut-être ne dormiraient pas
Mes jours s'en vont, mes jours près de toi
Sans grands chagrins et sans grandes joies
Quand tu t'ennuies, je me dis parfois
Que, là-bas
D'autres peut-être ne s'ennuiraient pas
Mes jours s'ent vont, mes jours près de toi
Mon coeur se fane et voilà pourquoi
Quand tu t'égares, je rêve parfois d'un là-bas
Où quelqu'un d'autre n'aimerait que moi