Françoise Hardy
Peut-être que je t’aime
Si dormir avec toi n'est pas le bout du monde
Ce le devient pourtant dès que tu n'es plus là
Une vie près de toi risque d'etre bien longue
Mais loin de toi, c'est pire, elle n'en finit pas
Quand dans notre maison nous échangeons nos rêves
Il arrive souvent que tes rêves m'ennuient
Et puis je m'en repars vers des villes nouvelles
Où je m'ennuie de toi au bout de quelques nuits
Peut-être que je t'aime
Peut-être que je t'aime
J'ai appris que le ciel me plaît moins que tes yeux
Il me fallait pour ça lever les yeux au ciel
Il me faudra toujours les oublier un peu, tes yeux
Si tu veux qu'autre chose toujours me les rappelle
Peut-être que je t'aime
Peut-être que je t'aime