Françoise Hardy
Les sédiments…
Puisqu'il n'est plus question d'espoir
Même s'il n'est pas facile d'y croire
J'aimerais
Je voudrais
Ne plus jamais te voir dans le désespoir
Et quand tu retiens de l'histoire
Le chant du cygne, les chansons tristes
N'oublie pas
Souviens-toi
L'amour te trouvera même au fond du noir
Tu penses au sud de l'Italie
Il est une île où l'on oublie
Les souvenirs
Six pieds sous terre
Mais il faut revenir...
Il avançait si péniblement
Il en voulait même au firmament
Il avançait si péniblement
D'où vient ce sentiment?
J'ai l'idée qu'une fois dans le noir
Quand tu es là, quand tu es lasse
Cette lumière
N'est qu'à toi
Mais ton soleil hélas n'est que ta douleur
Ce que l'on fait n'est pas anodin
Ce qu'on omet, ça c'est certain
Tu ne fais rien
Donc tu n'es rien
Ce n'est pas un destin
Il avançait si péniblement
Qu'il en voulait même au firmament
Il avançait si péniblement
D'où vient ce sentiment?
La la la la la la la la la
La la la la la la la la la
La la la la la la la la la
D'où vient ces sédiments?
Comme il y a toujours un espoir
Que le pire n'est pas pour ce soir
Je voudrais
J'aimerais
À tout jamais te voir dans une autre histoire
Il avançait si péniblement
Qu'il accusait même le firmament
Il avançait si péniblement
D'où vient ce sentiment?
La la la la la la la la la
La la la la la la la la la
La la la la la la la la la
D'où vient ces sédiments?
La la la la la la la la la
La la la la la la la la la
La la la la la la la la la
L'amour trouve ses enfants...