Jean-Jacques Goldman
La promesse
On était quelques hommes
Quelques hommes quelques femmes rêvant de liberté
On n'était pas à vendre
Mais on pouvait revendre des montagnes d'amitié
Le cœœur en bandoulière
Et les bras grand ouvert à tous les étrangers
On n'avait pas de peur
On sentait la chaleur qu'on savait se donner
Même au fin fond du désert
On aidait les plus faibles à ne jamais tomber
Même au milieu des chimères
On y croyait plus fort quand le courage manquait
Pour vous mes compagnons mes amis de jeunesse
Quelques soient vos histoires non n'oubliez jamais
Qu'un beau jour nous avions fait ensemble une promesse
S'il n'en reste qu'un nous seront ce dernier
On était plein d'ardeur
Et on sortait vainqueur de nos pauvres blessures
Quand les cœœurs étaient lourds
On se trouvait toujours une voix qui nous rassure
On avait tant d'envies
Qu'on voyait notre vie comme une belle aventure
On n'avait pas de maître
La seule à nous soumettre c'était la mère nature
Même au fin fond du désert
On aidait les plus faibles et quitte à y rester
Même au milieu des chimères
On y croyait plus fort quand le courage manquait
Pour vous mes compagnons mes amis de jeunesse
Quelques soient vos histoires non n'oubliez jamais
Qu'un beau jour nous avions fait ensemble une promesse
S'il n'en reste qu'un nous seront ce dernier
Même au fin fond du désert
On aidait les plus faibles à ne jamais tomber
Même au milieu des chimères
On y croyait plus fort quand le courage manquait
Pour vous mes compagnons mes amis de jeunesse
Quelque soit mon histoire non je n'oublie jamais
Et aujourd'hui encore je refais la promesse
S'il n'en reste qu'un nous seront ce dernier
Pour vous mes compagnons mes amis de jeunesse
Quelques soient vos histoires, ne m'oubliez jamais
Et si un jour je tombe faites moi cette promesse
S'il n'en reste qu'un vous serez ce dernier
Ce dernier, ce dernier