Francis Cabrel
L’amour m’attendait là
Après les larmes et les longs détours
Dans cette eau claire où nos enfants courent
Dans le lumière de ce nouveau jour
L'amour m'attendait là
Dans les reflets tombant des nuages
Dans tes miroirs où dormait mon image
Tes mains ouvertes comme un coquillage
L'amour m'attendait là
A Charron Rhône entre tes bras serrés
En bas une ville s'éveille

Le monde est comme il l'a toujours été
En même temps rien n'est pareil

Sûr cette page que nos doigts déplient
Ces quelques mots qu'on ne m'a jamais dit
Au bout de ma centaine de vies
L'amour m'attendait là
Comme une fleur dans tes cheveux cachée
Qui s'ouvre aux rayons du soleil

Le monde est comme il l'a toujours été
En même temps rien n'est pareil

Dans la lumière de ce jour nouveau
Dans cette eau claire qui cours sur ta peau
J'ai posé mon fardeau
L'amour m'attendait là
L'amour m'attendait là