Laisser flotter l’absurde de ces :
On m’enferme pour boire et on me chasse pour fumer
Laisser couler l’absurde de ces :
Je suis musicien mais je vis la vie d’un cuisinier
Laisser croire en l’absurde de ces :
L’homme est un loup pour l’homme à s’autotuer
Laisser penser l’absurde de ces :
Pour vivre heureux vivons caché
Pour vivre heureux vivons caché
Oh oh oh oh oh
Libérer l’absurdité de ma réalité
Libérer l’absurdité de ma réalité
Libérer l’absurdité de ma réalité
Laisser traîner l’absurde de ces :
On est jamais satisfait de c’que l’on a, de c’que
L’on est
Laisser danser l’absurde de ces :
Un été enneigé ou un hiver ensablé
Laisser libre l’absurde de ces :
Pour s’faire entendre on part toujours manifester
Laisser penser l’absurde de ces :
L’habit du moine fait si bien le policier
Pour vivre heureux vivons caché
Oh wohoh
Libérer l’absurdité de ma réalité
Libérer l’absurdité de ma réalité
Maintenant que je me sens aussi sûr de moi
Que je te sais aussi faible que moi
Maintenant que tu me plaîs autant que l’absurde me noie
Maintenant que l’absurde encore ne me donne pas le choix
Je ne suis
Pas sourd, ni muet, ni même mort
Pourtant les singes de Gandhi m’ont appris à respecter l'handicap
De celui dont les sens sont soumis au hasard de la vie
Tu es l’insomnie de mes jours qui fait que je ne dors pas
De nuit
Tu es l’insomnie de mes jours qui fait que je ne sors pas
Dehors sans mélodie en tête
Qui fait que ma vie est un conte et que comme le chat j’en ai 7
C’est l’histoire absurde d’un conte égaré
Dans lequel on raconte la vie absurde d’un mec égaré
Dans son bled paumé le petit bonhomme à rêvé d’une
Fille belle comme le jour
D’une belle fée de toujours
Qui s’amuse à jouer des
Humeurs qui court dans le corps du rêveur assoiffé
D’histoires de pleurs, d’amours et de coeurs
Blasé du leur le rêveur se donne la mort
Et se réveil en sueur
Et se réveil en sueur
Et se réveil en sueur
Oh oh
Oh oh oh
Libérer
Libérer
L’absurde
Oh
Libérer l’absurdité de ma réalité
Libérer l’absurdité de ma réalité
Libérer l’absurdité de ma réalité
Libérer l’absurdité de ma réalité