[Couplet 1]
Juliette
Je voulais croire à l’impossible, un amour parfait
Faire le double de ma lessive et mourir accompagné
Mais j’ai des doutes concernant tes frénésies
Disait-elle au téléphone, je me calme et tu m’ouvres la porte
C’est les mêmes conneries qu’hier soir
Celles de demain seront pareilles
Ne vois-tu pas que mon amour est parti ?
Ne vois-tu pas que tous les messages que j’ignore ?
Pitié, je t’implore, ne vois-tu pas que je quitte le navire ?
[Refrain]x2
Juliette, comme par hasard, ça finit mal
On s’était pourtant promis pas de coups de putes et pas de filatures
Et mes histoires d’amour me donnent le mal de crâne
T’es parano, pars avant que je devienne crade et que je perde le nord
[Couplet 2]
De l’amour à la haine, il n’y a qu’un pas, je l’ai enjambé
Enchanté, je suis incapable de le demander
Chérie, voudrais-tu te taire ? Et laisse faire la douleur
J’espère du fond du cœur que tu souffres
J’espère que les séquelles s’effacent
À Bruxelles, j’ai le cœur vide et les mêmes histoires néfastes
Sèche ces fausses larmes et tes souvenirs
J’envenime le drame par la haine et la tragédie
Puis, bagatelle et crises de nerfs en défense
Je n’ai plus d’essence pour me bagarrer ou profaner des sentences
Examine ma race, mes cernes en disent long sur mes pensées
De l’ombre et des idées noires
[Refrain]x2
[Couplet 3]
Du monde dans les soirées
L’alcool est une drogue, mes synapses lâchent Porte de Hal
J’avais dit plus tard mais mon corps s’écroule et touche le sol de plein fouet
J’ai la bile qui coule et toutes mes poches sont pleines de néant
Un aller simple au pays des emmerdes du célibataire s’il vous plait
J’ai la flemme d’y retourner mais j’ai pas d’autres options
Cette fille me dégoûte, mon dieu qu’elle était belle
Quand sa peau prenait des couleurs du soleil
Douleur, cette fois, ça ne passera pas
D'où le triste faciès que je présente tous les soirs
[Outro]
La flamme s’éteint pour toujours quand le bic est vide
[Refrain]x3