Luchè
Co’Sang - Fin Quanno Vai ’Ncielo (Traduction Française)
[Intro]
Maintenant que je m'endors, je prie Dieu de me tenir près de lui
Et si je devais m'en aller avant que je me lève
Je prie Dieu de prendre mon âme
[Refrain]
Sérieux jusqu'à ce que tu ailles au Ciel
Entre l'encens, les cierges et les bougies
Plus sincère, plus léger
Tu peux m'enlever la colonne
Me frapper avec les mains
Mais n'efface rien, mon frère dis lui
Sérieux jusqu'à ce que tu ailles au Ciel
Entre l'encens, les cierges et les bougies
Plus sincère, plus léger
Tu peux m'enlever la colonne
Me frapper avec les mains
Mais n'efface rien, mon frère dis lui
[Couplet 1 : 'Ntò]
Tu es pris de désillusion quand tu perds tes fils dès l'enfance
Avant qu'ils atteignent l'âge de faire leurs devoirs
Tout se complique, ce n'est pas de ta faute
Tu te sens à l'aise et tu suis la mode
Et après tu commences à jouir du fait que tu l'aies gâté
Aujourd'hui, tu retrouves des complices avec des nouveaux codes
Tu es inexpérimenté, et sans patience
Ni de guide, ni d'obéissance
Jugement avant l'audience
“Piété” pour les jeunes de la rue
Tu y pense seulement le temps d'une nouvelle
Mais après tu retournes à ta routine convaincu de quelque motif
C'est un perpétuel désir, un caprice infame
Qui oint et étourdit l'ignorant avec importance
Restaurants très chers
Ici, on discute tu es sûr et après beaucoup d'excuses
Les haineux se gèlent, je le fais parce que je veux
Je ne dois pas changer de genre pour plaire aux gens
Tu me trouves indigeste
Tu fais des intrigues, tu cherches les embrouilles
Mais t'aimes entendre les histoires de garçons armés
[Refrain]
Sérieux jusqu'à ce que tu ailles au Ciel
Entre l'encens, les cierges et les bougies
Plus sincère, plus léger
Tu peux m'enlever la colonne
Me frapper avec les mains
Mais n'efface rien, mon frère dis lui
Sérieux jusqu'à ce que tu ailles au Ciel
Entre l'encens, les cierges et les bougies
Plus sincère, plus léger
Tu peux m'enlever la colonne
Me frapper avec les mains
Mais n'efface rien, mon frère dis lui
[Couplet 2 : Luchè]
Vénéré si je meurs dans les mains d'un flic
J'éprouve un étrange plaisir à être haï
Perversion d'un brave gamin avec un flingue à la main
Et chaque tatouage est une larme de sang encadrée
Et dans le club, on te danse au visage
À toi qui penses que CoSang est commercial
On se bat pour faire face à la ruine
À côté de ceux qui brisent les rêves
Où les cadavres sont devenu des notes
Réincarnation dans la gloire
Qu'est-ce que tu t'attends ici, où l'herbe est inculte
Et un prophète est mort, tué par son propre peuple
Au sein d'une ville qui te dépucèle
Avec des trous dans les parebrises
Verre dans les chemises, tu marches avec Dieu
Nous cherchons l'Eden, mais nous reculons sans rétroviseurs
Négatif car je n'ai pas d'autre choix
Ils m'ont attribué un Dieu et une religion
Et nous sommes dehors car le désir d'affirmation est trop important
Moteur, action !
[Refrain]
Sérieux jusqu'à ce que tu ailles au Ciel
Entre l'encens, les cierges et les bougies
Plus sincère, plus léger
Tu peux m'enlever la colonne
Me frapper avec les mains
Mais n'efface rien, mon frère dis lui
Sérieux jusqu'à ce que tu ailles au Ciel
Entre l'encens, les cierges et les bougies
Plus sincère, plus léger
Tu peux m'enlever la colonne
Me frapper avec les mains
Mais n'efface rien, mon frère dis lui
Sérieux jusqu'à ce que tu ailles au Ciel
Entre l'encens, les cierges et les bougies
Plus sincère, plus léger
Tu peux m'enlever la colonne
Me frapper avec les mains
Mais n'efface rien, mon frère dis lui